Les fêtes approchent et même si ce n’est pas trop mon truc, je participe à ma façon en vous proposant des desserts aux couleurs de la tendance, à savoir le rouge et le blanc. Et oui d’ici quelques jours les rituels vont reprendre : à J-8, l’impatience commence à monter, à J-1, ils iront faire de bonnes affaires à la braderie de Bayonne et ensuite on lâche les fauves pendant 5 jours… Tranquillement installée dans mon jardin, j’entendrai, à timing mesuré, la cadence des bus des fêtes passant en bas de la rue ; c’est étrange à l’aller la clameur est festive, les bus sont chantant et joyeux… à partir de 2 heures du matin, les retours sont moins bruyants ou alors carrément déchainés… Bref c’est un temps à part ! Pendant la journée, j’en profiterai pour organiser mes « ventes d’été sous le cerisier » avec plein de créateurs régionaux et de supers gourmandises à découvrir… car entre les Fêtes et les ref-êtes, on peut aussi faire un peu de shopping !
Je commence par des milliions d’excuses pour mon absence inqualifiable : trop de boulot, trop d’enfants malades et un peu de vacances…
Mais pour la peine voici la nouvelle maquette du Blog gourmand Assiettes & Gourmandises…
Et pour la « double peine » voici un vrai régal du dimanche soir..
C´est le dessert de saison, et comme c´est une année à cerises, ne vous en privez pas !
Etant un peu débordée par mes lancements de collections en ce moment (I love Shopping, la série diamant, la série Bayonne et bientôt une nouvelle nappe…) C´est donc Ma grande fifille qui s´est mise en cuisine !
Après quelques minutes dans le cerisier (à choisir et à manger la production « maison ») Maïlys a fait des clafoutis aux cerises en version individuelle dans les coupelles…
Pour l´histoire, elle a donc été obligée de faire AUSSI des clafoutis nature, à force de manger les cerises, le filon était tari !
Forcément, j´exploite mon filon des cerises… jusqu´aux derniers noyaux !
Cette fois-ci c´est Maïlys qui s´est mise aux fourneaux… et au dénoyautage !
D´habitude elle prépare elle-même la pâte sablée mais ici voici la version de la flemmarde, telle mère telle fille !
Bienvenue à cette tarte aux cerises, simple et merveilleuse… et rappel La fête de la cerise d´Itxassou c´est encore dimanche prochain 7 juin au village.
C´est une année en or pour les cerises ! Depuis 9 ans que nous habitons notre maison, nous n´avons jamais eu une telle récolte…
j´ai surveillé pendant des semaines, les gros nuages de grêle, le trop plein de pluie (quelle pluie ce printemps !)
et je me suis transformée en furie quand les oiseaux ont commencé à repérer les fruits mûrir…
Bref, elles ont été méritées, puis fêtées, célébrées… et englouties par une bonne partie du quartier, de la famille et même de l´école !
Ce matin une fidèle lectrice de ce blog m´a demandé où en étaient mes cerises et mon si attendu « clafoutis aux cerises ».
Pour le prix, en voici trois, en version miniatures et petits gâteaux… préparés samedi pour le pique nique de Valou de retour vers Paris.
En parlant de Paris, je vous rappelle que c´est aujourd´hui mercredi qu´a lieu ma première vente privée… et les blogueuses gourmandes sont elles aussi attendues ! Car entre mes assiettes, il y aura des petites gourmandises (on ne se refait pas !)
Juste une info « coup de vent » car le week end a été très chargé… et la semaine s´annonce terrrible (avec l´accent basque)
Juste aussi pour vous faire baver, voici mes cerises « maison » car cette année est enfin LA meilleure…seulement trois petites branches et voici le résultat sans aucun trucage ! on y a passé des heures, les enfants (et les grands) se sont éclatés…
Maintenant ce sont les oiseaux qui vont terminer le boulot…
Et juste enfin pour vous rappeler que je démarre mon périple parisien…
Bon il faut être honnête, avec le temps pourri de ces vacances dePâques au Pays basque, j´ai trouvé une idée créative pour mettre un rayon de soleil dans mon salon…
Ceci dit j´exploite aussi mon cerisier qui est complètement en fleurs… Depuis quelques années je n´osais pas couper une seule branche à l´idée de perdre une ou deux cerises à la fin mai… Mais mon cerisier est tellement capricieux que les « bonnes années » sont de plus en plus rares.
