Un petit régal d’accompagnement que je répète depuis quelques semaines : la première fois, je me suis faite surprendre par ma troupe familiale qui a englouti les carottes confites au romarin avant même que je dégaine mon appareil photo… et puis, j’ai recommencé, et oublié… bref voici la version aboutie de cette recette toute simple et … divine.
Une question pour mes amies blogueuses gourmandes : « Avez vous des vents de rébellion face à la pression de la photographie AVANT dégustation ? » Chez moi c’est l’enfer ! je finis par faire ma présentation à part, je file faire ma photo, et je laisse « les lions dévorés les restes du plat » ! ( je n’exagère qu’à peine !!!)
Ok, certains lectrices et lecteurs de ce blog connaissent déjà mes douloureuses aventures autour de la gaufre… Je suis nulle mais je persiste ! C’est mon côté « vintage », quand tout le monde s’amuse à faire des macarons (les miens sont salés) moi je retravaille mes basiques très classiques…
A chacun sa « Madeleine » de Proust… Un de mes plats préférés de l’enfance était les escalopes de veau aux champignons et à la crème de ma mère… souvent le mercredi midi !
Alors, sur ce blog, après plus de 500 recettes, je n’avais jamais osé rééditer ce goût de mes 10 ans… c’est chose faite aujourd’hui !
Je sais c’est très tendance le « vintage » dans les bijoux (très trucs top chez Roulotte.biz), dans la déco (idem chea AmaViolette avec notamment les nappes kitch)… mais aussi dans la cuisine ! Hier soir nous avons fait une virée (plutôt une razzia) familiale à la FNAC et j’ai encore fait un tour du côté des livres de cuisine… je vous le dis, le « vieux » dessert de nos grands mères, c’est le top ! Pour la peine, voici une belle assiette en trio « vintage »…
La lotte est le poisson préféré de mon homme, du coup j’essaye régulièrement des variations autour de cet ingrédient… Et ce n’est pas mon côté « femme soumise » (NDLR ceci est une « private joke » pour des lecteurs assidus !) mais plutôt ma curiosité naturelle vers de nouvelles expériences culinaires : que cela soit dit !
Bref aujourd’hui présentation de ma blanquette de lotte, un détournement audacieux de ce plat de viande archi classique, limite « vintage »…
4 remerciements à la fin du repas donneront l’appréciation générale de cette recette : à vous d’essayer maintenant ?
Vieille recette de ma cuisine, et pourtant, cela fait des années que je n’avais pas repris ce grand basique… Ce qui a de bien dans les fonds d’artichauts gratinés, c’est que vous avez le droit de jouer les grandes flemmardes car il existe une méthode archi rapide…
En plus, vous pouvez adapter en fonction des préférences gustatives de vos testeurs récalcitrants !
Du sucré, du sucré ! Je reconnais que ces dernières semaines ont souvent consacré des recettes salées en tout genre… Alors voici un retour aux sources avec une tarte au citron, revisitée en version miniature et surmontée de jolies framboises fraîches…
Fabrication « maison » avec ma grande aux fourneaux : vous auriez vu la cuisine, un vrai champ de bataille ! Mais elle a aussi nettoyé la cocotte !!!
Encore un bouquet, encore pour une dernière fois du mimosa… Pour être honnête, avec le beau temps de la semaine dernière, c’est maintenant fini… Voici donc une version décalée, pas pour un centre de table mais plutôt pour une entrée ou en guéridon tristounet…
Quel titre ! En fait cette recette est un hommage à mes étudiants ; car le potiron, au centre de ce menu est un cadeau d’un de ces drôles de zèbres de l’EGC de Bayonne…
Je ne suis pas un « vrai » prof comme beaucoup le savent, je suis très pragmatique et tente de les plonger dans le vrai bain de la « vraie vie » professionnelle… Entre les Masters de Bordeaux, de Pau et de Bayonne, je croyais avoir croisé de sacrés phénomènes, cette année en débarquant à l’école de gestion et de commerce de la CCI de Bayonne, j’ai été confrontée à de nouveaux spécimens originaux : n’empêche, la semaine dernière, un étudiant a débarqué avec une énorme tranche de potiron et j’ai conçu cette vraie soupe des étudiants…
Ca c’est de la soupe, je vous préviens, du grand classique béarnais… le truc idéal pour achever cet hiver interminable.
Une vraie soupe de mecs, car une fois n’est pas coutume, je n’ai fait que la déguster… et te connais un lecteur assidu de ce blog qui va apprécier ce changement de rôle… hé hé, il m’arrive aussi de « mettre les pieds sous la table » !!
Au travail, la garbure ne tombe pas du ciel, au moins deux heures de cuisson, au boulot le cuistot !!!
Un petit régal d’accompagnement que je répète depuis quelques semaines : la première fois, je me suis faite surprendre par ma troupe familiale qui a englouti les carottes confites au romarin avant même que je dégaine mon appareil photo… et puis, j’ai recommencé, et oublié… bref voici la version aboutie de cette recette toute simple et … divine.
